[Exhortation] Ne soyez pas comme l’arbre Gharqad ! – Chaykh Jihâd Al-‘Âyich

📽 « [Exhortation] Ne soyez pas comme l’arbre Gharqad ! »

🎙Par le chaykh palestinien Jihâd Al-‘Âyich

🌹Un magnifique rappel sur la fraternité islamique🌹

Transcription :

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Toutes les louanges appartiennent au Seigneur de l’univers. Que la prière et le salut d’Allah soient sur notre maître Mouhammad, ainsi que sa famille et l’ensemble de ses Compagnons.

Ceci étant dit :

Dans cette conférence, chers frères, nous ne parlerons pas des j**** qui se sont opposés à nous. Nous parlerons plutôt de certains musulmans qui nous ont abandonnés.

Et ceci nous rappelle le hadith du Prophète ﷺ : « Il y aura toujours un groupe de ma communauté sur la vérité qui sera victorieux. Ceux qui les abandonneront ou s’opposeront à eux ne leur causeront aucun préjudice. Et ce, jusqu’à ce que l’ordre d’Allah vienne. »

Comme l’a évoqué le Prophète ﷺ dans de nombreuses autres versions de ce hadith et dans d’autres termes.

Nous parlerons donc de ceux qui ont abandonné les musulmans, de ceux qui ont secouru et soutenu les j****, de ceux qui ont endossé avant son heure le rôle de l’arbre Gharqad (Nitraria).

Nous disons à ceux qui ont vendu leur religion pour seulement quelques biens mondains, dans le but de secourir les j**** ; à ceux qui ont abandonné Jérusalem et la Mosquée d’où le Prophète fut élevé au ciel ; à ceux qui ont offert aux j**** les moyens d’acquérir de la force et de se protéger ; à tous ceux qui ont empêché les j**** de sombrer dans les abîmes : « Ne soyez pas comme l’arbre Gharqad derrière lequel les j**** se cachent ! »
Lire la suite

{« Quand donc viendra le secours d’Allah » Sachez que le secours d’Allah est tout proche.} – Par notre frère gazaoui Jihâd Hallas 🇵🇸

Notre frère gazaoui Jihâd Hallas a publié il y a quelques jours (18/06/2024) un fort rappel pour réconforter le croyants et raffermir sa bonne opinion d’Allah lors des épreuves : 

Sais-tu que ce désespoir qui se faufile dans ton cœur et ce découragement qui remplit ton âme ne sont, par la permission d’Allah, que le signe de la proximité de la délivrance ?

Lis, si tu le veux, la parole d’Allah : {C’est seulement lorsque les Messagers perdaient tout espoir de voir les leurs croire en eux que Nous leur portions secours, sauvant alors ceux que Nous choisissions. Notre châtiment ne saurait être écarté des criminels.} [S.12, v.110].

Lis aussi Sa parole : {Pensez-vous entrer au Paradis, vous croyants, sans avoir été éprouvés comme l’ont été vos devanciers ? Ils furent touchés par la misère et les souffrances et durement ébranlés, au point que les Messagers et leurs compagnons se sont demandé : « Quand donc viendra le secours d’Allah ? » Sachez que le secours d’Allah est tout proche.} [S.2, v.214].

Regardez tous les Prophètes ! Regardez lorsqu’Abraham (sur lui la paix) fut jeté dans le feu et croyait qu’il allait mourir de façon certaine. Allah dit au feu : {« Ô feu ! Sois d’une fraîcheur salutaire pour Abraham ! »} [S.21, v.69].

Lorsque Jonas (sur lui la paix) se retrouva dans le ventre du poisson, et que s’étaient réunis autour de lui les ténèbres de la nuit, de la mer et du ventre du poisson, Allah – exalté soit-il – le sauva alors de cette grande affliction. Lorsque l’épreuve de Job (sur lui la paix) s’intensifia, Allah le sauva également et rendit sa famille deux fois plus nombreuse.

Joseph (sur lui la paix et le salut) fut jeté en prison, mais aussi dans le puits, Allah le sauva à deux reprises et fit de lui le Grand Intendant d’Égypte. David (sur lui la paix) et Mouhammad (sur lui la paix et le salut) ont tous deux subi de nombreuses calamités et des maux, mais Allah les a sauvés du peuple criminel.

« Lorsque l’épreuve se resserre et semble inextricable,
la voilà qui se dissipe soudainement, sans jamais penser qu’un jour elle le serait ».

C’est pourquoi vous devez savoir qu’après cette nuit destructrice et cette obscurité, apparaitront nécessairement, par la permission d’Allah, l’aube, la délivrance et la victoire.

Allah n’a décrété ces épreuves que parce qu’Il nous aime et parce qu’Il nous réserve une chose bien plus grandiose et plus belle. C’est la certitude que nous avons d’Allah et notre bonne opinion à Son égard. Nous demandons à Allah d’éteindre le feu de cette guerre, et qu’Il nous accorde, de par Son indulgence et Sa générosité, une délivrance proche, et non tardive.

Une histoire vraie, entre un oiseau 🇵🇸 et un serpent 🇮🇱

Une histoire vraie, entre un oiseau et un serpent

L’oiseau se jeta sur le serpent ! Il se jeta sur lui, dénué de toute compassion. Il s’attaqua à la tête du serpent avec son bec, en le frappant encore et encore. Le serpent se mit alors à hurler, se lamenter et prétendre être victime d’injustice. Il s’adressa à tout ce public : « Regardez cet oiseau terroriste et oppresseur ! Il m’agresse, sème la destruction et la terreur ! » Mais l’oiseau continua de mutiler son corps sans prêter attention aux appels et aux larmes du serpent, devant un public ahuri et silencieux, comme à son habitude, trop occupé à analyser la situation. L’analyste politique dit alors : « L’oiseau a un plan secret, financé par une force externe. » L’analyste religieux dit à son tour : « C’est de l’extrémisme et une agression. » Et l’analyste économique dit : « C’est la faim qui pousse l’oiseau à picorer la chair du serpent. La faim, rien de plus ! » Le public continua de philosopher, au milieu des cris d’encouragement et d’indignation, de soutien et de blâme en un même instant.

Peu de temps après, l’oiseau s’éloigna laissant derrière-lui le cadavre figé du serpent, face à cet attroupement de spectateurs ahuris. Certains curieux vinrent avec des ciseaux pour ouvrir la partie gonflée du ventre du serpent. C’est là que tous s’étonnèrent et purent enfin découvrir la vérité. Ils virent l’oisillon de ce pauvre oiseau qu’avait ingurgité le serpent pendant son absence. Il l’avait ingurgité sans éprouver la moindre miséricorde et compassion. Il l’avait ingurgité alors qu’il pleurait, se plaignant de la perfidie des traîtres qui n’ont su manifester de la compassion face à sa faiblesse.

Le serpent avait oublié son crime ! Mais l’oiseau, lui, ne l’avait pas oublié. L’heure de la vengeance avait sonnée pour toutes les larmes et les châtiments subis par ces innocents, devant un public toujours plongé, comme à son habitude, dans leurs analyses, entre ceux qui approuvent et désapprouvent.

Fayiz Al-Kandarî