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أمة الله و عبد الله
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Catégorie : Récits
Faites régner entre vous l’esprit de l’amitié et du pardon.
Deux amis marchaient dans le désert, et durant leur périple se sont disputés.
L’un des deux frappa l’autre au visage, et celui-ci malgré la douleur ne prononça pas un mot et écrivit plutôt sur le sable « Aujourd’hui mon meilleur ami m’a frappé au visage ».
Les deux amis continuèrent leur marche jusqu’à trouver un oasis dans lequel ils voulaient se laver. Celui qui avait été frappé fut prit par des sables mouvants et commença à se noyer mais son ami l’agrippa et le sauva de la noyade.
Ainsi, après que son ami l’ait sauvé de la mort, il se leva et écrivit sur un morceau de roche « Aujourd’hui mon meilleur ami m’a sauvé la vie »
Son ami l’interrogea alors : « Pourquoi la première fois lorsque je t’ai frappé tu l’as écrit sur le sable, et maintenant que je t’ai sauvé tu l’as écrit sur la roche ? »
Il lui répondit alors : « Lorsque quelqu’un nous cause du tort nous devons l’écrire sur le sable pour que les vents du pardon puissent l’effacer ; mais lorsqu’on nous apporte un bien nous devons écrire ce bienfait sur la roche afin qu’aucune sorte de vent puisse l’effacer.»
Morale de l’histoire :
Sachez écrire vos douleurs sur le sable et graver le bien dans la roche et sachez faire régner entre vous l’esprit de l’amitié et du pardon.
Traduit par l’équipe du site Le cœur des croyants.
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Abou Bakr Mouhamed Al-Ansârî et le collier de perles
Le cheikh, le pieux, Abou al-Qassim al Khazzaz al Baghdadiy a dit:
« J’ai entendu le Qadiy Abu Bakr Mohamed ibn ‘Abdel Baqiy ibn Mohammad al Bazzâr al Ançâry dire :
« Je séjournais à Mekkah -qu’ALLAH la garde- quand un jour la faim me frappa, et je ne trouvais rien qui puisse repousser cette faim. Je trouvai un sac en « ibrissim » serré par une houppe en « ibrissim » aussi, je le pris et le ramena chez moi, je l’ouvris et j’y trouvai un collier de perles dont je n’avais jamais vu de semblable de ma vie.
Puis je sortis, là un cheikh « criait » à ce collier et avec lui une bourse de 500 dinars et il disait : ceci sera pour celui qui nous rendra le sac qui contient les perles ! Alors je dit : je suis dans le besoin et je suis affamé et si je prends cet or je pourrai en profiter, je lui rendis alors son sac :
Je lui dis : viens ! et je l’emmenai chez moi, il me donna la description du sac, de la houppe et des perles ainsi que leur nombre et le fil par lequel elles étaient attachés, je sortis le sac et le lui passa.
