Catégorie : Coran
Récitation de la sourate « Âli ‘Imrâne » [La famille d’Imrâne] (v.190-195) – Chaykh ‘Abd Al-‘Azîz Al-‘Asîrî
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أمة الله و عبد الله
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L’étudiant en science et la lecture du Coran
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Le terme اللّسَان (Al-Lisân) dans le Coran
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أمة الله و عبد الله
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Le Coran a sept droits sur nous
La douceur du Coran (Conférence – Vidéo)
Conférence du Chaykh Soulaymân Ar-Rouhaylî
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أمة الله و عبد الله
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« Je suis ton compagnon, le Coran… »
Bouraydah رضي الله عنه rapporte que le Prophète صلى الله عليه و سلم a dit : « Au Jour de la Résurrection, le Coran rencontrera son lecteur assidu, lorsque sa tope s’ouvrira et qu’il en sortira blême. Le Coran lui dira : « Me reconnais-tu ? – Je ne te connais pas. – Je suis ton compagnon, le Coran qui t’a assoiffé lors des grandes chaleurs, et qui t’a fait veiller la nuit. Tous commerçants cherche un profit en son commerce, aujourd’hui je suis le profit de ce commerce.« On lui donnera alors la puissance dans la main droite, l’éternité dans la main gauche, on posera sur sa tête la couronne de la prestance, et on revêtira ses parents de deux toges avec lesquelles ce bas monde ne peut rivaliser. Ses parents demanderont : « Comment avons-nous gagné cela? » On leur répondra : « Par la lecture de votre fils. » Ensuite on lui dira : « Récite et élève-toi dans les degrés du Paradis et ses appartements. » Il ne cessera de s’élever tant qu’il récitera, que sa récitation soit rapide ou lente. »
Hadîth hasan rapporté par Ahmad
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أمة الله و عبد الله
Categories: Coran, HadithTags: Ahmad, Allah, appartements, assidu, bouraydah, coeur, commerce, compagnon, coran, couronne, croyants, degrés, des, fils, Hadith, hasan, islam, jour, lecteur, lente, lire, mérite, monde, paradis, parents, profit, prophète, rapide, résurrection, toges
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Notre jeune frère finissant le Coran (vidéo)
Ô Allah, Ô Toi le Généreux, permets-nous de mémoriser Ta Parole, de la méditer et de la comprendre !
Ô Allah, je suis Ton serviteur fils de Ton serviteur et de Ta servante, mon toupet se trouve entre Tes Mains, je suis soumis à Ton décret et Ton jugement est juste à mon égard ! Je Te demande en vertu de tout nom qui T’appartient et avec lequel Tu T’es nommé, que Tu as fait descendre dans Ton Livre, que Tu as enseigné à un de Tes serviteurs ou que Tu as gardé dans la science de l’invisible auprès de Toi, de faire en sorte que le Coran le printemps de mon cœurs, la lumière de ma poitrine, la dissipation de ma tristesse et la disparition de mes soucis !
Notre situation vis-à-vis du Coran (vidéo)
{(…) « Vous avez dissipé vos [biens] excellents et vous en avez joui pleinement durant votre vie sur terre » (…)}
Les faveurs de ce bas monde sont une source de dissipation des faveurs de l’au-delà :
Allah a informé qu’il est des gens auxquels les bonnes choses sont anticipées dans ce bas monde : {Et le jour où ceux qui ont mécru seront présentés au Feu (il leur sera dit) : « Vous avez dissipé vos [biens] excellents et vous en avez joui pleinement durant votre vie sur terre : on vous rétribue donc aujourd’hui du châtiment avilissant, pour l’orgueil dont vous vous enfliez injustement sur terre, et pour votre perversité »} [Sourate 46, verset 20]
Aboû Mijlaz a dit : « Certaines gens chercheront de bonnes actions qu’ils accomplirent dans ce bas monde, il leur sera dit : {(…) Vous avez dissipé vos [biens] excellents et vous en avez joui pleinement durant votre vie sur terre » (…)} [Tafsîr Ibn Kathîr, t.7 p.285]
C’est-à-dire : le jour du Jugement Dernier, des gens viendront s’enquérir de bonnes actions en jouissant de toutes sortes de faveurs en ce monde.
Les Compagnons et les Suiveurs restreignaient leur jouissance de ce bas monde, afin de réserver leurs faveurs pour la demeure ultime.
Selon Jâbir Ibn ‘Abd Allah رضي الله عنهما : « Ôumar رضي الله عنه me vit porter de la viande, il me demanda : « Qu’est-ce, Jâbir ? » – « De la viande que j’ai achetée à un dirham pour des femmes de ma famille qui en ont eu envie », répondis-je. – « Pourquoi à chaque fois que l’un de vous désire quelque chose, il l’accomplit ? Ne pouvez-vous pas supporter votre faim pour [nourrir] un voisin ou un cousin ? Où en êtes-vous par rapport à ce verset : {(…) Vous avez dissipé vos [biens] excellents et vous en avez joui pleinement durant votre vie sur terre » (…)} ? Jâbir continua : « C’est à peine si j’ai pu me soustraire à lui ! » [Rapporté par ‘Abou Al-Hamîd dans Ad-Dourr Al-Manthoûr t.7 p.447]
‘Oumar رضي الله عنه disait : « Si je voulais, je serais celui d’entre vous qui consomme les meilleurs mets, qui porte les habits les plus fins, mais je réserve mes bonnes choses », c’est-à-dire : pour l’au-delà. [Tafsîr At–Tabarî t.22 p.120]
Hafs Ibn Abî Al-‘Âs رحمه الله fréquentait souvent ‘Oumar رضي الله عنه, et il avait l’habitude de refuser tout repas que celui-ci lui proposait. ‘Oumar رضي الله عنه lui demanda un jour : « Qu’as-tu à ne pas manger manger notre nourriture ? Hafs répondit : « Ô émir des croyants ! Ma femme me prépare des repas plus raffinés que les tiens, c’est pour cela que je les préfère ». – « Malheur à toi ! Ne sais-tu pas que si je voulais, j’aurais donné mes ordres et on m’aurait amené un agneau bien gras que j’écorcherais. Puis, je demanderais qu’on amène de la farine, qu’on en extraie le son dans un tissu pour en faire de fins pains. Ensuite, je demanderais qu’on en mette un sâ’ de raisins secs dans de la graisse jusqu’à ce qu’ils prennent la couleur du sang de gazelle ! » Hafs s’exclama : « Je vois que tu es un fin connaisseur ! » – « Malheur à toi ! dit ‘Oumar. Par Celui qui détient mon âme dans Sa Main ! Si je craignais pas qu’on diminue mes bonnes actions le Jour de Résurrection, j’aurais consommé, autant que vous, de la nourriture exquise ! » (1)
Hafsa Bint ‘Oumar rapporte qu’elle demanda un jour à son père : « Ô émir des croyants ! Pourquoi ne mets-tu pas de vêtements plus beaux que ceux que tu portes ? et pourquoi ne consommes-tu pas de meilleure nourriture que celle que tu manges ? Allah t’a pourtant donné le pouvoir sur terre et t’a pourvu de largesses ! » – « Je te prends à témoin contre toi-même. N’as-tu pas vu l’adversité qu’affrontait le Messager d’Allah صلى الله عليه و سلم ? », lui demanda ‘Oumar, tout en lui rappelant quelques exemples du dénuement du Prophète صلى الله عليه و سلم, si bien qu’il finit par la faire pleurer.
Il dit : « Ne t’ai-je pas dit que j’avais deux compagnons qui ont emprunté une certaine voie ? Assurément, si jamais je suis un autre chemin que le leur, je serais mis sur une autre voie. Par Allah ! J’ai choisi de mener une vie aussi austère que la leur, puissé-je parvenir à partager avec eux la vie agréable qu’ils mènent ». Par compagnons, ‘Oumar رضي الله عنه faisait allusion au Prophète صلى الله عليه و سلم et à Aboû Bakr رضي الله عنه. [Ibn Abî Chaybah n°34434]
Du reste, lorsque ‘Oumar رضي الله عنه se rendit en Syrie, on lui prépara un repas qu’il n’avait jamais goûté auparavant. Il dit : « Alors que nous consommons de tels délices, qu’ont les musulmans pauvres qui sont morts sans manger à leur faim, serait-ce en mangeant du pian d’orge ? » Khâlid Ibn Al-Walîd répondit : « Ils ont le Paradis ». Les yeux de ‘Oumar éclatèrent en larmes et il dit : « Ils nous ont alors bien devancés s’ils ont eu le Paradis alors que nous nous complaisons à nous délecter de rognures. » [Tafsîr At-Tabarî, t.22 p.120]
Qatâdah dit : « Par Allah ! Vous savez qu’il est des gens qui avalent (2) leurs bonnes actions. Que chacun de vous réserve ses bonnes oeuvres tant qu’il le peut ! Il n’y a de force que par Allah. » [Tafsîr At-Tabarî, ibidem]
(1) Le sâ‘ est une unité de mesure qui équivaut à 4 moudd. Un moudd équivaut à un livre et un tiers dans le Hijaz. Ndt.
(2) C’est-à-dire dont les bonnes actions diminuent.
Source : « Le Luxe » du Chaykh Mouhammad Al-Mounajjid, Al-Hadîth éditions.
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أمة الله و عبد الله
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